De nombreux Libanais (l'auteur inclus) se demandent pourquoi le dernier conflit, qui fut court techniquement parlant, a fait beaucoup plus de dégâts psychologiques sur la population que les trente-quatre jours de guerre militaire en 2006. Les guerres civiles sont plus difficiles à gérer psychologiquement que les guerres avec “l'autre”, conclut le blogueur Charles Malik [1], (anglais) qui décrit à travers des anecdotes l'impact psychologique des guerres au Liban.
Liban : Traumatismes psychologiques
· Ecrit par Moussa Bashir Traduit par Claire Ulrich
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