L'expatriée brésilienne Menina de Angola [qui signifie la fille de l'Angola en portugais], évoque sur son blog deux affaires de viols commis contre des femmes brésiliennes à Luanda. Elle critique le silence qui répond au problème, devant lequel, selon elle, ni la police, ni les médias, ni la communauté n'ont réagi : “Je savais depuis toujours que la société angolaise était sexiste, mais je n'aurais jamais cru que la violence contre les femmes soit autant acceptée, comme une chose “normale”.”
Il faut bien que l'Italie remplace tous les jeunes qui quittent leur pays par désespoir...