Miguel Cruz Sousa [en portugais] analyse sur son blog la politique étrangère du Cap-Vert et les rapports du pays à sa diapora. “Le chômage, les inégalités sociales, l'insécurité, les bas salaires et le risque de rupture dominent ici, dans le pays. Au sein de la diaspora, il y a les persécutions, les discriminations, les insécurités liées au travail, le chômage, la xénophobie et la discrimination, les arrestations arbitraires et l'indifférence du gouvernement cap-verdien; il y a une double exclusion, dans le vrai sens du terme, de la part du pays d'accueil et de celui de naissance des plus de 900 mille Cap-verdiens qui vivent et travaillent dans plus de vint-cinq pays de par le monde.”