Après trois conflits toujours non résolus et de nombreux problèmes inter-ethniques, la paix dans le sud du Caucase parait souvent inaccessible. Après avoir vécu et travaillé dans cette région pendant plusieurs années, Micael Bogar [1] [en anglais] est maintenant directrice de Projet au Center for Social Média [2], à l’université américaine, et parle avec Global Voices du potentiel des nouveaux outils de communication pour éviter les conflits [3]et permettre de rétablir des liens entre des pays brouillés.
Micael travaille comme Directrice de Projet au Center for Social Media (CSM). Juste avant de commencer son travail dans ce centre, Micael est rentrée de République de Géorgie où la Fondation Fulbright lui a attribué une bourse qui lui a offert l’occasion de travailler avec des artistes de Géorgie, Azerbaïdjan, Arménie et Turquie et de créer un collectif d'artistes du Caucase. Sa première expérience dans la région du Caucase a commencé en 2003, en tant que volontaire du Corps de Paix (Peace Corp) en Azerbaïdjan. Après avoir obtenue sa maîtrise d'anglais en 2003 auprès de l'université Willamette, elle a travaillé pour créer des liens entre les communautés artistiques internationales ainsi que nationales au Caucase. Actuellement, elle prépare une maîtrise sur la paix et la résolution de conflits à l'école des relations internationales de l'Université américaine.
Les communications téléphoniques sont interrompues entre l'Arménie et l'Azerbaïdjan, ces pays restant bloqués dans un conflit non résolu sur la région du Nagorno Karabakh. L'entretien fait référence aussi à celle effectuée à Arzu Geybullayeva [4] et mentionne le cas d'Adnan Hajizade et d'Emin Milli [5] [en anglais] deux vidéo- blogueurs récemment arrêtés à Bakou, ainsi que les initiatives pour rétablir la paix et résoudre les conflits dans le Caucase du Sud. Vous pouvez écouter l'entretien dans l’enregistrement ci-dessous [en anglais] :
Média : dans une nouvelle fenêtre [6] | Téléchargement [6]