Sur le blog Groundviews, Marisa de Silva souligne [en anglais] le fait que “même après la guerre, la discrimination reste profonde au Sri Lanka”, en donnant quelques exemples de ce que subissent ses amis Tamouls dans leur vie quotidienne. Les papiers officiels (acte de naissance, procédure de divorce, formulaire de retrait d'argent à la banque) rédigés en cingalais compliquent la vie de Tamouls qui ne savent pas lire cette langue. Une exception toutefois, les cartes d'identité sont bilingues, ce qui garantit à leurs porteurs de ne pas passer inaperçus lors d'un contrôle d'identité.
Sanjana analyse, toujours sur le même blog [en anglais], la vie politique de l'île.