“Alors que plusieurs autres pays arabophones se livrent à ce qui a été défini comme “Le printemps arabe”, avec différents degrés de succès, ici, en Algérie, différentes factions de la “société civile” (à supposer qu'une telle entité existe) ont préféré s'adonner à des grèves” écrit le blog collectif algerianna [en anglais].