Des fonctionnaire travaillant à l’hôpital national Simão Mendes de Bissau dénoncent par des photos et des récits sur le mur Facebook [en portugais] de l'établissement, les dommages collatéraux provoqués par le coup d'état dans le pays [en français] : coupures d'électricité, manque de médicaments, manque de carburant pour les ambulances, difficultés pour se déplacer dans les rues fermées par les militaires, rendent très difficile l'activité médicale.