La grève de la faim a maintenant dépassé 40 jours [1] et, selon un porte-parole des prisonniers, ceux-ci sont affaiblis physiquement et ils souffrent d'insomnie, de crampes et de douleurs musculaires. Entre autres choses, cette grève de la faim vise à attirer l’attention sur l’usage de la Loi anti-terroriste [2] par le gouvernement chilien et sur la lutte du peuple Mapuche pour récupérer leurs territoires ancestraux. [3]
a écrit Ryan Seelau sur le site Indigenous News [4] [liens en espagnol et anglais].