Dans une lettre ouverte aux Nations Unies [1], l'APIB, Articulação dos Povos Indígenas do Brasil [Représentation des peuples indigènes du Brésil] a dénoncé [2] [portugais] les violations des droits de l'homme envers les populations autochtones. Parmi de nombreux sujets, l'APIB attire l'attention sur l'extermination des Guarani-Kaiowá [3] [français], les projets d'exploitation minière sur les terres indiennes et les constructions illégales dans la forêt amazonienne – telles que le barrage de Belo Monte [4] [5][français]. Elle dénonce également les carences en matière d'éducation et de santé.