La plupart des jeunes filles et des femmes au Kirghizistan ont peur de sortir de chez elles après la tombée de la nuit, croyant qu'une rue sombre est le lieu où les agressions surviennent le plus fréquemment. En réalité, comme le montre le blog SQ [en russe], quatre crimes sur cinq ayant pour cible des femmes ont lieu à leur domicile et sont commis par leurs maris ou d'autres membres de la famille.