Ahmed Marwan raconte l'histoire de quelques start-ups irakiennes à Wamda, un an après la prise de contrôle par ISIS de certaines zones d'Irak.
Qu'est-ce qu'il y a de plus incertain que calculer les probabilités de réussite d'une start-up dans une ville située à moins de 50 km du chaos créé par ISIS?
Voilà exactement ce que c'est d'être un entrepreneur à Baghdad: ils travaillent dans des conditions d'incertitude extrême.
Marwan cite quelques start-ups irakiennes et conclut :
Ces jeunes types et les autres entrepreneurs ont prouvé une chose : l'esprit d'entreprise en Irak à un potentiel illimité face à l'adversité.
L'insécurité, la crise financière irakienne, les infrastructures détruites, le peu de connaissance des investisseurs locaux du milieu des start-ups et d'autres obstacles majeures sont des arguments de poids pour ceux qui veulent douter et nier dans le débat sur le futur de l'entreprenariat en Irak.
Mais les entrepreneurs demandent à clore le débat et continuent à faire ce qu'ils font le mieux : survivre dans ce marché brutal et essayer de se faire un nom.