Portraits de traducteurs : pour Yann Leymarie, les valeurs et le principe de Global Voices font écho à qui il est et ce qu'il fait

Yann Leymarie – Photo remise

Yann LEYMARIE a rejoint l'équipe de traducteurs de Global Voices en français en novembre 2017. Responsable de la branche girondine d'un réseau européen s'occupant d'écologie marine, il a bien voulu répondre aux questions de notre contributeur de longue date Abdoulaye Bah.

Global Voices (GV) : Yann, qui es-tu ? Que veut dire Surfrider et pourquoi ce pseudo ?

Yann Leymarie (YL) : Je m'appelle Yann, citoyen français désormais basé à Bordeaux mais ayant vécu en Asie et au Moyen-Orient ces dernières années. Surfrider Foundation Europe, c'est le nom de l'association pour laquelle je travaille. Je suis en effet Responsable d'un bureau de coordination pour cette ONG qui est chargée de la protection des milieux aquatiques, des océans et de leurs usagers depuis 1990.

GV :  L’ONG Surfrider étant active dans le domaine de l’environnement, pensez-vous nous écrire des billets traitant de cette thématique ? GV est preneur, vous savez ?

YL : J'avais conscience qu'il existait une branche d'articles environnementaux puisque ma première traduction traitait de l'impact d'une centrale hydro-électrique sur le Parc national de Valbona en Albanie. Pour le moment je suis plus à l'aise dans la traduction mais il faudra bien que je saute le pas un jour, je peux déjà sentir le souffle des éditrices dans mon cou ;) .

GV : Raconte-nous comment tu as découvert Global Voices, et ce qui t’y a attiré ?

YL : Je recherchais des bénévoles pour un projet de traduction sur le site des Nations Unies et je suis tombé par hasard sur une candidate qui était bénévole pour Global Voices. Étant curieux de nature je suis bien évidemment allé jeter un œil. Les valeurs et le principe de GV m'ont directement attiré, ça faisait écho avec qui je suis et ce que fais.

GV : Après cette brève expérience, ton attente a-t-elle été satisfaite ?

YL : Jusqu'ici je suis très heureux d'avoir pris cette décision. La participation est simple mais encadrée, il y a un grand respect qui règne dans les communications et le soutien permanent des équipes encadrantes est crucial pour la motivation. Il y a un grand niveau de professionnalisme derrière !

GV : Étant jeune, je suppose que tu dois avoir beaucoup d'intérêts dans la vie. Quelle place occupe GV dans tes activités ? Et comment les concilies-tu avec ta vie hors du travail ?

YL : J'essaie de traduire un article par semaine. Même si c'est assez compliqué avec la charge de travail du moment, c'est aussi un plaisir de le faire et cela me permet de déconnecter totalement pendant quelques heures.

GV: Y a-t-il des liens entre ton activité pour GV et celle dans la sphère professionnelle ?

YL : L'encadrement de réseaux bénévoles est l'une de mes missions au quotidien, que ce soit pour du support de compétences ou des missions de traductions.

GV : Quelles langues pratiques-tu professionnellement ?

YL : Le Français et l'Anglais majoritairement. J'ai malheureusement assez honte de mon niveau actuel en Espagnol pour le ressortir du tiroir…

GV : Un souhait par rapport à ce que publie GV ?

YL : C'est assez incroyable de devoir le répéter en 2018, mais merci à GV de représenter la Presse Libre et la défense des droits d'accès à l'information et d'expression. Ce sont des droits fondamentaux mais qui sont de plus en plus menacés au niveau mondial.

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