Guinéen, retraité des Nations Unies, créateur du blog Konakryexpress.org qui dénonce les crimes du tyran Sékou Touré qui a été le 1er Président de la Guinée torturant, tuant par la faim, la soif et autres formes de tortures des milliers de Guinéens.
Langues apprises et pour la plupart oubliées: français, italien, anglais, espagnol, serbo-croate, allemand, portugais, peulh de Guinée (langue maternelle).
Dernières publications de Abdoulaye Bah de août, 2020
Des dubs aux débats : la campagne électorale en Jamaïque pendant une pandémie
Le nombre croissant de cas de COVID-19 limitant les moyens par lesquels les candidats peuvent faire campagne, beaucoup produisent de courts clips vidéo.
Surveillance de masse et espionnage au Rwanda, une réalité effrayante
L'absence de législation spécifique sur la protection des données à caractère personnel a donné aux services de sécurité rwandais toute latitude pour collecter des données en toute impunité.
Les familles kényanes souffrent des retombées des fermetures d'écoles
Suite aux fermetures d'écoles au Kenya, les inégalités se sont généralisées. Certaines voix s'élèvent en faveur d'une refonte complète du système éducatif.
Le projet Wiki Loves Africa 2020 présente des images d'un continent en mouvement
«Wiki Loves Africa», encourage les gens à contribuer chaque année à Wikimedia avec des contenus multimédia pertinents pour l'Afrique autour d'un thème particulier.
Les Nigérians contrent le déni de la COVID-19 avec des campagnes sur les réseaux sociaux
Ces contre-récits sont efficaces parce qu'ils sont exempts de la méfiance habituelle associée aux interventions gouvernementales.
Le jour où le Liberia mit fin à la liberté d'expression, en pleine manifestation de masse
L'année dernière, le gouvernement libérien a interrompu l'accès aux médias sociaux pour empêcher la couverture en direct des manifestations et la mobilisation des manifestants
Un journaliste congolais contraint à l'exil pour un documentaire sur les expulsions violentes
Le cinéaste congolais Gaël Mpoyo et sa famille ont dû s'exiler, compte tenu du sujet sensible de son film et d'un climat d'insécurité dans la province du Sud-Kivu.