Dernières publications de Claire Ulrich de juin, 2013
Nouvelle réglementation pour Skype et Viber à Bahreïn
"Des considérations sur la sécurité" sont évoquées pour justifier une nouvelle réglementation qui pourrait mettre fin à l'utilisation des messageries instantanées (sur ordinateur ou mobiles) telles que Skype, WhatsApp, Viber et Tango au Bahreïn..
Sénégal : La dignité avant le visa pour la France
J'ai pris la décision de renoncer, malgré l’obtention du visa. [..] Renoncer au nom de tous ces milliers de Sénégalais qui méritent le respect, un respect qu'on leur refuse au sein de...
Une carte des exploitations pétrolières en Irak
Une carte interactive et publique des infrastructures pétrolières de l’Irak, comprenant la localisation des pipelines, les raffineries, les terminaux pétroliers pour les tankers,ainsi que la localisation des puits de pétrole,...
Brésil : les slogans des manifestations deviennent une chanson
“J'ai fermé Facebook/ pour montrer comment être dur/ Il y a tant de choses/ qu'une pancarte ne suffit pas”. Voici la traduction du portugais du refrain de la chanson “Brasil...
Maroc : Qandisha, le “Magazwine” qui dérange
Fedoua Miski a lancé il y a un an et demi un nouveau webzine pour les femmes, marocaines ou non, Qandisha. Entretien avec la fondatrice d'un "Magzwine" féministe au Maroc.
Comment saisir le ɛ et le ɔ des langues africaines sur un téléphone Androïd
Le blog Mighty African explique comment il a découvert un outil pour utiliser les caractères de la langue parlée au Ghana, le Twi, sur les téléphones Androïd : Aujourd'hui, je voulais...
Les manifestations d'Istanboul vues par un journaliste ukrainien
De nombreux Ukrainiens suivent la situation en Turquie avec beaucoup d'intérêt. Leur première source d'information durant les premiers jours des manifestations a été le journaliste ukrainien Osman Pashayev, chef du bureau d'Istanbul de la chaine ATR TV .
Turquie : “Un arbre meurt, une nation se lève”
La situation à Istanbul a dégénéré en violences lorsque la police a réprimé quelques dizaines d'opposants pacifistes, vendredi 31 mai, en un sit-in depuis quelques jours contre l'arrachage des arbres et un projet urbain menaçant l'un des rares espaces verts d'Istanbul : le parc Gezi. La brutalité de la police - gaz lacrymogènes, canons à eau, coups de poing et de bâtons - pour les expulser du parc a provoqué une véritable révolte populaire.