Marie André · mars, 2012

Dernières publications de Marie André de mars, 2012

Inde : Des jeunes femmes se forment à la vidéo participative

  29/03/2012

Un groupe de jeunes femmes des bidonvilles de Hyderabad en Inde, apprennent la vidéo pour faire évoluer leurs communautés. Sur le film qui suit le groupe de jeunes filles expliquent ce qu'elles ont appris, comment elles vont pouvoir aider leurs communautés et ce que ce travail leur a apporté.

Panama : “Je suis Ngäbe, je suis Buglé, je suis Panaméen”

  21/03/2012

En février dernier, la police a dispersé par la force l'occupation de l'autoroute panaméricaine par la communauté indigène Ngäbe-Bugle, qui s'opposait à l'exploitation minière de leurs territoires. Une vidéo "Je suis Ngäbe, je suis Bugle, je suis Panaméen" a été produite pour sensibiliser le Panama à leur cause et leurs droits, ainsi qu'à la protection de l'environnement et des ressources nationales.

Turquie : La police s'en prend aux Kurdes qui célèbrent Newroz

En Turquie, des milliers de Kurdes se sont retrouvés dans la rue pour célébrer la fête de Newroz. L'événement était prévu, mais dans tout le pays les participants ont été dispersés par des canons à eau et des gaz lacrymogènes. La fête marque le premier jour du printemps. Par le passé, cette fête était interdite car les Kurdes ne devaient pas faire état de leur identité publiquement. Depuis 1980, la célébration de Newroz est devenu un symbole de la culture et de l'identité kurdes.

Brésil : L'histoire d'une migrante syrienne de 93 ans

  08/03/2012

'"Sito Badia', (Grand-mère Badia en arabe) comme aiment à l'appeler ses petis-fils, est née à Hwash, village de la province de Homs à l'ouest de la Syrie. Elle a émigré au Brésil il y a 80 ans, à l'âge de 13 ans. L'histoire de sa vie rappelle l'époque lointaine où les émigrants arabes arrivaient au Brésil et en Amérique Latine.

Honduras: A Sabanagrande, on ne plaisante pas avec la police

  07/03/2012

Au milieu de multiples accusations de corruption policière au Honduras, une tradition culturelle annuelle de la ville de Sabanagrande a accru la tension entre administrés et policiers. Des citoyens ont riposté à l'arbitraire de la répression policière en créant le premier Comité des droits humains de la ville. Le blogueur Fabricio Estrada, un poète de Sabanagrande, raconte l'histoire sur son blog.