· juillet, 2011

Billets sur Dernière Heure de juillet, 2011

Liban : Tensions autour de la frontière maritime avec Israël

Hassan Nasrallah, le dirigeant du Hezbollah, a estimé que le Ciel avait donné au Liban la chance de se débarrasser de son écrasante dette et de devenir un "pays prospère" en le dotant de riches réserves de pétrole et de gaz au large de ses côtes. Mais un obstacle majeur empêche l'exploitation de ces réserves : elles sont situées dans une zone maritime faisant l'objet d'un litige avec Israël.

L'Australie introduit la taxe carbone

  13/07/2011

Les Australiens restent divisés après l'annonce par la Premier Ministre Julia Gillard d'un train de mesures en faveur de l’énergie propre avec une taxe carbone à 23 dollars australiens la tonne et l’établissement d’un marché d’échange de droits d’émission de gaz à effet de serre à l'échéance de 2015. Les blogueurs relèvent que l'Australie est le seul pays au monde ayant une taxe carbone pour l'ensemble de l'économie.

Egypte : Les pourquoi du 8 juillet

Les Egyptiens ont une fois de plus réinvesti la place Tahrir, épicentre de leur révolution, en ce vendredi 8 juillet. Mais qu'ont-ils encore à manifester maintenant que leur révolution est faite, que Moubarak n'est plus au pouvoir et beaucoup de piliers de son régime derrière les barreaux ? Ce n'est pas si simple, et les blogueurs ont été nombreux à essayer d'expliquer pourquoi les millions qui ont fréquenté la place Tahrir en janvier devaient retourner dans les rues.

Pérou : Retour au calme à Puno après conclusion d'accords

  04/07/2011

Le pouvoir exécutif ayant promulgué de nouvelles lois, le calme revient peu à peu dans la région de Puno, au sud des Andes péruviennes, après les récents conflits et troubles sociaux tous en lien avec l'exploitation minière, qui ont fait six morts, plus de 30 blessés et des dégâts matériels se chiffrant en millions. Les réseaux sociaux abondent en commentaires.

Maroc : Une nouvelle Constitution, peu de réformes

Les Marocains se sont rendus aux urnes aujourd'hui pour le référendum sur la nouvelle Constitution proposée par le roi Mohammed VI. Même si elles sont saluées par beaucoup d'analystes et les monarchistes, les réformes proposées n'ont pas satisfait les attentes des politiques et d'activistes qui souhaitaient une réelle démocratie, avec une véritable séparation des pouvoirs.