· janvier, 2012

Billets sur Dernière Heure de janvier, 2012

Sénégal : Une semaine de tous les dangers

Le 31 janvier, au Sénégal, l'opposition est sortie dans les rues pour manifester contre un 3e mandat du président Wade. Le 27 janvier dernier, le Conseil Constitutionnel du Sénégal a tranché sur la liste définitive des candidats pour les élections présidentielles du 26 février prochain. Les cinq sages ont accepté la candidature d’Abdoulaye Wade, qui brigue un 3e mandat jugé inconstitutionnel par plusieurs Sénégalais, et refusé la candidature du chanteur Youssou N’Dour, sous le prétexte qu'il n'aurait pas récolté assez de signatures pour soutenir sa candidature.

Madagascar : L'ex-président Ravalomanana contraint à rebrousser chemin

L'ex-président Marc Ravalomanana annonçait depuis le 18 janvier 2012 son retour à Madagascar après ses trois ans d'exil en Afrique du Sud. Le 21 janvier, la capitale appréhendait son retour tandis que des milliers de personnes attendaient sur les routes de l'aéroport l'atterrissage de son avion. Cependant, quelques minutes après l'entrée de l'avion dans l'espace aérien malgache, il reçut l'ordre de se dérouter et de se poser ailleurs. Les Malgaches ont suivi les événements mouvementés en temps réel.

Pakistan : Le temps des rumeurs

  18/01/2012

Ces derniers temps les télévisions comme les médias sociaux bruissaient au Pakistan de rumeurs de coup d'Etat militaire, et surtout Twitter. Les Twittos s'échangent les derniers développements sur le front politique du pays.

Myanmar (Birmanie) : Un reporter vidéo libéré

  17/01/2012

Un journaliste de Democratic Voice of Burma fait partie du groupe de prisonniers politiques libéré le 13 janvier par le gouvernement birman. Il avait été condamné à 18 ans de prison pour avoir fait une vidéo sur une attaque à la grenade dans la capitale. [lien en anglais]

Brésil : La grève des policiers et les pillages provoquent une panique générale à Fortaleza

  07/01/2012

A la veille des festivités du nouvel an, la population de l'État du Ceará, au Brésil, a été surprise par une grève de la police militaire et des pompiers. Entre faits et rumeurs de violences urbaines, le hashtag #CaosEmFortaleza (Chaos à Fortaleza) est devenu le centre de la grogne générale, des plaintes officielles, des réflexions ironiques et aussi de la désinformation dans la capitale régionale.