· février, 2011

Billets sur Dernière Heure de février, 2011

Bahreïn : Nicholas Kristof, témoin oculaire

Nicholas Kristof, chroniqueur au New York Times et double lauréat du prix Pulitzer, rapporte les événements se déroulant à Bahreïn via son compte Twitter. Il est arrivé dans le pays il y a quelques jours, quand deux manifestants ont été tués suite aux manifestations dans lesquelles des milliers de personnes, rassemblées sur la place de la Perle, réclamaient la démocratie.

Bahreïn : La télévision d'Etat affirme que des armes blanches et à feu et des munitions ont été trouvées sur les manifestants

La Télévision de Bahreïn (BTV) vient de diffuser le récit 'officiel' de l'assaut de ce matin à l'aube contre les manifestants rassemblés sur le rond-point de la Perle dans la capitale Manama, qui a fait cinq morts, de nombreux blessés et pas moins de 60 disparus dont on reste sans nouvelles. L'émission a soulevé plus de questions qu'elle n'a apporté de réponses.

La centrale hydroélectrique d'Inambari au Pérou provoque le rejet

  13/02/2011

Le projet de la centrale hydroélectrique d'Inambari, dans la forêt amazonienne du Pérou, a fait l'objet d'un débat public provoquant un rejet de par son possible impact sur l'écosystème local et du fait que l'énergie produite ira à 80% au Brésil. Inambari serait la cinquième plus grande centrale, elle générerait une capacité électrique de 2200 Mégawatts et sa construction requièrerait un investissement de 4 milliards de dollars US.

Porto Rico : Démission du doyen de l'université

  12/02/2011

Le doyen de l'université de Porto Rico, José Ramón de la Torre, vient de remettre sa démission, officiellement pour “ raisons personnelles ”, en plein milieu d'une grave crise. Selon le blog étudiant Desde Adentro/Rojo Gallito [en espagnol], De la Torre aurait démissionné au lendemain de l'envoi d'un courrier sollicitant...

Algérie : Les Marcheurs du 12 février arrêtés et battus

Les manifestants pour la démocratie ont déjà fait tomber deux dictateurs, en Tunisie et en Egypte, mais les autorités algériennes ont jusqu'à présent limité avec succès les rassemblements qui ont débuté dès après les révoltes tunisiennes début janvier 2011. Photos et vidéos en ligne montrent les arrestations et violences physiques contre les manifestants.