Billets sur Idées de juillet, 2017
Quand une image vaut mille mauvais mots
Comment la photo d'un horrifique accident en République démocratique du Congo il y a sept ans a acquis une vie propre. AVERTISSEMENT : Le récit contient des images violentes.
Chroniques d'une Vénézuélienne inquiète : Le paysage de la terreur au quotidien
"...J'ai oublié le temps où je ne vivais pas dans la peur d'être agressée par ceux qui cherchent à prendre ou garder le pouvoir".
Caracas, entre douleurs et désillusions
"Caracas, c'est autre chose : c'est une identité, une peur, oui, mais aussi du bonheur, une foule de petites choses"
Carton rouge aux maires de Dacca pour leur échec à endiguer le chikungunya
"M. le Maire, votre responsabilité est de tuer les moustiques pour que les gens n'aient pas besoin de moustiquaire"
L'entreprise de cette écologiste indienne fabrique du papier à planter
"Imaginez, les sacs qui finiraient au coin de la rue ou dans une décharge pousseraient et deviendraient des plantes."
Notimia, l'agence de presse mexicaine qui donne la parole aux indigènes et aux afro-descendants
"Il est nécessaire que votre propre voix soit entendue, que vous vous exprimiez vous-mêmes.."
Un peintre syrien réinvente les puissants de ce monde en réfugiés vulnérables
"Ces dirigeants ont une part de responsabilité dans le déplacement des Syriens. Peut-être ressentiront-ils ce que c'est que d'être vulnérable."
Chroniques d'une Vénézuélienne inquiète : les cicatrices de l'Histoire
"Qu'est-ce que le Venezuela aujourd'hui ? Qui sommes-nous, nous les Vénézuéliens qui avons survécu à ce désastre historique ?"
Pas de panique : ce « Bouton rouge » est là pour aider les Russes
En mettant en contact les manifestants arrêtés avec leurs proches et des organisations de défense des droits de l'homme, Bouton Rouge les protège contre les arrestations illégales.
Les habitants de Mumbai transforment leur plage grâce à une gigantesque opération de nettoyage bénévole
"Je ne pouvais pas croire que c'était la même plage que celle que j'ai visitée l'an dernier avec mon ami qui me disait, c'est tellement sale."