Billets sur Droit de avril, 2020
À Trinité-et-Tobago, le confinement s'accompagne d'une augmentation des violences domestiques
Le nouveau système mis en place par la police de Trinité-et-Tobago permet aux victimes de faire des signalements par téléphone ou via une application.
En Inde, les populations vulnérables sont livrées à elles-mêmes pendant le confinement dû au COVID-19
Le gouvernement a garanti que le confinement laissera les services essentiels intacts. Or, les plus pauvres ont été abandonnés à leur sort, y compris dans la capitale.
La peine de prison de Harvey Weinstein souligne la faiblesse de la justice pénale dans les affaires d'agression sexuelle
Aux États-Unis, moins d'un quart des cas d'agression sexuelle sont déclarés à la police et seuls cinq sur mille aboutissent à une condamnation.
COVID-19 : la Malaisie prône une « répression sévère » des médias rapportant de façon erronée les propos du gouvernement
« Le recours à la censure, surtout dans sa forme extrême, en temps de crise, reflète l’insécurité du gouvernement en place. »
Condamné pour meurtre, la star jamaïcaine Vybz Kartel est en passe de devenir « martyr » après le rejet de son appel
Six ans après la condamnation à perpétuité de Vybz Kartel pour meurtre, la cour d'appel jamaïcaine confirme le jugement, mais prononce une mise en délibéré des peines.
Si la Tunisie a un problème de désinformation, museler (davantage) la parole n'est pas la solution
Des citoyen·ne·s et des groupes de défense des droits humains font échec au projet de loi controversé visant à criminaliser la diffusion de « fausses nouvelles » en ligne.
Restrictions d'accès à Internet en 2019 : l'Inde maintient sa position en tête de liste des pires contrevenants
Un récent compte rendu d'Access Now révèle qu'en 2019, l'accès à Internet a été restreint à 121 reprises, rien que sur le territoire indien.
Au Nigéria, le confinement dû au COVID-19 accentue les inégalités sociales
Une grande majorité de la population nigériane vit en-dessous du seuil de pauvreté. Survivant au jour le jour, ils leur est impossible de respecter le confinement.
Polémique en Malaisie : quelles politiques pour contrer la circulation de « rumeurs » sur le coronavirus ?
En Malaisie, la publication de contenus controversés liés au nouveau coronavirus est passible d'une peine allant jusqu'à deux ans d'emprisonnement.