· novembre, 2011

Billets sur Média et journalisme de novembre, 2011

GovCamp Singapour 2011

Le second GouvCamp de l'année à Singapour a été organisé il y a quelques jours de cela, sous le thème "Rassembler les gens, les données et les idées". Voici des réactions des participants, sous le hashtag "#govcampsg".

25/11/2011

Liberia : Donner une seconde chance à la presse libre

Le jugement controversé ordonnant la fermeture de stations de radio et télévision a donné à la justice au Liberia une occasion rare de sévir. Le 7 novembre 2011, le gouvernement libérien a procédé à la fermeture de trois stations de radio-TV (Love FM / TV, Power FM / TV et Kings FM) pour avoir supposément diffusé des messages susceptibles d'inciter à la haine et à la violence.

25/11/2011

Brésil : Amende maximum et silence médiatique sur la marée noire provoquée par Chevron

Le 7 novembre, une fuite de la plateforme pétrolière gérée par Chevron-Texaco et située à 350 km au large des côtes de Rio de Janeiro commençait à répandre du pétrole brut dans la mer. Deux semaines plus tard, la marée noire est censée être sous contrôle. Chevron a été condamné à l'amende maximale prévue. Mais toute la lumière n'a pas été faite sur les causes de la fuite et sur le silence des médias.

24/11/2011

Arabie Saoudite : Indignation après la condamnation d'une conductrice à 10 coups de fouet

Il y a 6 mois, Shaima Jastaniya a été arrêtée par la police alors qu'elle conduisait dans Jeddah. Au mois de septembre, elle a été condamnée à recevoir 10 coups de fouet pour avoir défié l'interdiction faite aux femmes de conduire. Les deux femmes journalistes qui ont parlé de la sanction ont été à leur tour convoquées devant un tribunal.

18/11/2011

Yémen : Reuters-Yémen accusé de partialité

Beaucoup d'internautes sont choqués d'apprendre que la célèbre et respectée agence de presse Reuters emploie Mohammed Sudam, le traducteur personnel du président Ali Abdullah Saleh, et également son secrétaire depuis 2009, comme correspondant au Yémen. Les Yéménites ont lancé sur Twitter un mot clic, #ShameonReuters, pour exprimer leur indignation. Ils mettent en doute l'intégrité de Reuters et exigent une explication.

13/11/2011