· juillet, 2011

Billets sur Manifestations de juillet, 2011

Brésil : La marche contre la centrale de Belo Monte en photos

  20/07/2011

Renata Takahashi a publié des dizaines de photos d'une marche (#MarchaBeloMonte ) qui s'est déroulée le 17 juillet à São Paulo et dans six autres villes du Brésil contre le projet de centrale hydroélectrique à Belo Monte et le nouveau code forestier. A la fin de la marche, les participants...

Maroc : Un témoignage personnel de contestation

Pour continuer à communiquer avec les Marocains, e mouvement pro-démocratie marocain connu sous le nom de Mouvement du 20 février se bat contre une campagne de diffamation visant à le discréditer. Le mouvement utilise avant tout Internet pour expliquer ses positions et ses idées. Mais c'est le témoignage personnel d'un de ses militants qui a touché le grand public. Voici le récit très émouvant de Younes.

Macédoine, Tunisie, Egypte: Comparer les expériences

SlavicaI [en anglais et macédonien], compare [en anglais], les caractéristiques de la contestation en Macédoine [en anglais] avec celles d’ Egypte [en français] et de Tunisie [en anglais], en se basant sur les expériences partagées par des participants de l'Université d'été de Universitat Rovira i Virgili (Tarragone, Espagne).

Malaisie : Encore des arrestations avant la manifestation Bersih 2

  08/07/2011

De nouvelles arrestations ont été effectuées en Malaisie pour soutien au rassemblement Bersih 2.0 prévu le 9 juillet 2011, parfois pour simple port de T-shirts Bersih. Le rassemblement Bersih, déclaré hors-la-loi par le gouvernement, a été organisé pour réclamer des élections propres et transparentes.

Egypte : Les pourquoi du 8 juillet

Les Egyptiens ont une fois de plus réinvesti la place Tahrir, épicentre de leur révolution, en ce vendredi 8 juillet. Mais qu'ont-ils encore à manifester maintenant que leur révolution est faite, que Moubarak n'est plus au pouvoir et beaucoup de piliers de son régime derrière les barreaux ? Ce n'est pas si simple, et les blogueurs ont été nombreux à essayer d'expliquer pourquoi les millions qui ont fréquenté la place Tahrir en janvier devaient retourner dans les rues.