Billets sur Taïwan (ROC) de mars, 2011
Taïwan : La longue marche solitaire des Anti-nucléaires
I-fan Lin revient ici sur le mouvement d'opposition à la construction de la 4e centrale nucléaire de Taïwan. Depuis 1988, les habitants voisins ont protesté, et, malgré une brève victoire en 2000, la centrale est aujourd'hui presque terminée, au moment où l'accident de Fukushima fait grandir l'inquiétude.
Les garanties données par Taïwan quant à la sécurité nucléaire ne convainquent pas
Suite à l'accident nucléaire de Fukushima au Japon, il est à présent demandé que soit révisée la politique relative à l'énergie nucléaire de Taïwan, et ce de manière toute particulière puisqu'une quatrième centrale nucléaire est en cours de construction.
Taïwan : Pour une remise à plat de la politique énergétique
L'accident de Fukushima au Japon a alerté les habitants de Taïwan sur la sécurité de leurs propres centrales nucléaires. Afin de transformer l'inquiétude actuelle en politique publique à long terme, de nombreux internautes réclament des pouvoirs publics taïwanais qu'ils engagent un réexamen complet de la politique énergétique et industrielle.
Taïwan: Les risques engendrés par les centrales nucléaires du pays sont élevés
La densité des centrales nucléaires est plus élevée à Taïwan qu'au Japon, avec une zone à risque sismique similaire si ce n'est supérieure. Après avoir suivi les évènements survenus aux réacteurs de Fukushima, nombreux sont les citoyens qui expriment leurs incertitudes et leurs inquiétudes.
Taïwan : Réflexions sur le séisme au Japon
Lorsque le 5ème plus violent tremblement de terre jamais enregistré a secoué le Japon hier, les Taïwanais ont aussi été sous le choc. Taïwan et le Japon ont de nombreuses caractéristiques géologiques communes et tous deux sont très vulnérables à des catastrophes naturelles comme les tremblements de terres et les typhons.
Taïwan : Les médias sociaux font entendre les voix aborigènes
Les récits de la lutte des populations aborigènes de Taïwan pour l'identité, la durabilité et la dignité sont absents de la sphère publique taïwanaise, par suite de la relative domination sociale et politique par la population chinoise han du pays. A présent, grâce aux médias sociaux, la jeunesse aborigène fait entendre sa voix et renoue avec les traditions.