Billets sur Guerre/Conflit de août, 2018
La longue attente de la relocalisation pour les réfugiés syriens au Liban
Après cinq mois d'attente, Abou Adel a finalement reçu un appel téléphonique : "Excusez ce retard. La France n'a pas accepté votre dossier." La famille reste éligible.
Facebook reconnaît sa lenteur à traiter le discours de haine en Birmanie
"La violence ethnique au Myanmar est horrifiante et nous avons été trop lents à prévenir la désinformation et la haine sur Facebook."
L'Amérique Latine est la région la plus meurtrière du monde. Cette série sur YouTube veut savoir pourquoi
Menée par de jeunes reporters du journal colombien El Espectador, La Pulla combine analyses rigoureuses et humour mordant sur des sujets complexes.
Quel avenir pour la diversité en Afghanistan ? Le cas des Sikhs et des Hindous
"Quelle tristesse ! Comment imaginer leur chagrin et leur douleur en quittant le pays, surtout la famille d'Avtar Singh dont les plaies saignent encore !"
Quatre femmes icônes de la révolution syrienne
L'une a péri dans une prison syrienne, deux sont mortes en exil, la quatrième reste disparue. Les destins de ces quatre Syriennes obligent à ne pas oublier.
Après des années de silence et de déni, le régime Assad délivre les certificats de décès des prisonniers «disparus»
Depuis juillet 2018, le gouvernement met à jour ses registres d'état civil dans lesquels les prisonniers "disparus" sont désormais classés comme morts.
Des journalistes russes tués en République centrafricaine
Trois journalistes russes ont été tués dans la nuit du 30 juillet en République centrafricaine, à un poste de contrôle près de la capitale Bangui.
Le Monténégro répond à Trump qu'il n'est pas une menace pour la paix mondiale
Personne sauf Trump n'imagine quel le Monténégro puisse commencer une guerre avec la Russie, même si de nombreuses vieilles blagues yougoslaves l'imaginaient avec la Chine.
Safa, veuve à 30 ans, nous raconte son exode en Syrie
"Souvenez-vous de mon histoire. Je m'appelle Safa. Mes trois enfants et moi avons été chassés de chez nous. Je suis désormais seule, triste et exténuée."